Eh oui! Aujourd'hui, votre humble servante est devenue une femme de son temps. À la veille de mes 40 ans, j'ai enfin mon permis de conduire!!! Vous allez me dire qu'il était à peu près temps et vous aurez raison! Mais c'est la preuve qu'il n'y a pas d'âge pour apprendre et que toute situation négative entraîne des changements positifs.
Bon, il ne me reste qu'à me trouver un char, maintenant!
;-)
samedi 25 octobre 2008
mercredi 23 juillet 2008
Repas pour 2
Lorsqu'on est seul(e) ou seulement deux, on a souvent du mal à trouver des recettes intéressantes. Je vous en offre une délicieuse que j'avais déjà publiée en version 4 portions sur Recettes du Québec :
FILET DE PORC AU PINEAU DES CHARENTES
2 portions
Ingrédients
1 filet de porc, coupé en tranches de 3/4 pouce
1 petit oignon ou quelques échalotes françaises, hachés
1 gousse d'ail, hachée
1/4 tasse de vin blanc
1/4 tasse de Pineau des Charentes
1/2 à 1 tasse de bouillon de boeuf
1 c.à thé comble de beurre mou
1 c.à thé comble de farine
Huile végétale et beurre, pour la cuisson
Préparation
- Faire revenir les tranches de porc avec un peu d'huile et de beurre dans une poêle à fond épais pendant environ 2 ou 3 minutes de chaque côté.
- Poivrer puis retirer les morceaux et les réserver au chaud.
Dans la même poêle, faire revenir l'oignon et l'ail pendant 1 minute puis ajouter le vin, le Pineau des Charentes et le bouillon. Amener à ébullition puis faire mijoter pour réduire environ de moitié.
- Bien mélanger le beurre mou et la farine. Ajouter à la sauce pour l'épaissir.
- Remettre les morceaux de porc dans la sauce.
Servir avec du riz ou des nouilles et des légumes de votre choix.
FILET DE PORC AU PINEAU DES CHARENTES
2 portions
Ingrédients
1 filet de porc, coupé en tranches de 3/4 pouce
1 petit oignon ou quelques échalotes françaises, hachés
1 gousse d'ail, hachée
1/4 tasse de vin blanc
1/4 tasse de Pineau des Charentes
1/2 à 1 tasse de bouillon de boeuf
1 c.à thé comble de beurre mou
1 c.à thé comble de farine
Huile végétale et beurre, pour la cuisson
Préparation
- Faire revenir les tranches de porc avec un peu d'huile et de beurre dans une poêle à fond épais pendant environ 2 ou 3 minutes de chaque côté.
- Poivrer puis retirer les morceaux et les réserver au chaud.
Dans la même poêle, faire revenir l'oignon et l'ail pendant 1 minute puis ajouter le vin, le Pineau des Charentes et le bouillon. Amener à ébullition puis faire mijoter pour réduire environ de moitié.
- Bien mélanger le beurre mou et la farine. Ajouter à la sauce pour l'épaissir.
- Remettre les morceaux de porc dans la sauce.
Servir avec du riz ou des nouilles et des légumes de votre choix.
vendredi 28 mars 2008
La poule aux canneberges
Mon cousin, un homme de Dieu, m'a invité à sa table hier et le repas qu'il m'a servi était... divin!
Je partage sa recette avec vous...
Préparation : 5 min
Cuisson : 1h30
Portions : 4
Ingrédients
4 poitrines de poulet
1 boîte (398 ml) de canneberges
1/4 tasse (60 ml) d'huile
1/4 tasse (60 ml) de vinaigre de vin rouge
2 c. à table (30 g) de sucre
1 enveloppe (environ 50 g) de soupe à l'oignon
Préparation
Préchauffer le four à 350°F (180°C).
Placer le poulet dans un plat allant au four.
Mêler ensemble tous les ingrédients sauf le poulet.
Verser la sauce sur le poulet et faire cuire à couvert pendant 1h30.
Servir avec des carottes et panais cuits à la vapeur ou braisés au four et un riz à grains entiers.
Je partage sa recette avec vous...
Préparation : 5 min
Cuisson : 1h30
Portions : 4
Ingrédients
4 poitrines de poulet
1 boîte (398 ml) de canneberges
1/4 tasse (60 ml) d'huile
1/4 tasse (60 ml) de vinaigre de vin rouge
2 c. à table (30 g) de sucre
1 enveloppe (environ 50 g) de soupe à l'oignon
Préparation
Préchauffer le four à 350°F (180°C).
Placer le poulet dans un plat allant au four.
Mêler ensemble tous les ingrédients sauf le poulet.
Verser la sauce sur le poulet et faire cuire à couvert pendant 1h30.
Servir avec des carottes et panais cuits à la vapeur ou braisés au four et un riz à grains entiers.
vendredi 8 février 2008
Un mystérieux étranger...
Installez-vous confortablement au coin du feu. Je vais vous chanter la complainte de l'aubergiste.
Depuis l'automne dernier, un mystérieux étranger vient régulièrement visiter mon auberge. La première fois qu'il est entré, je l'ai remarqué car, à la grandeur du village, on connaît tout le monde et lui, je ne l'avais jamais vu. Lorsque j'ai croisé son regard, j'ai senti comme une porte s'ouvrir et une drôle d'énergie me parcourir l'échine. Bien que j'aie d'abord pensé au coup de foudre, cet homme me semblait bien jeune et je me suis donc raisonnée. Puis, au hasard d'une randonnée en forêt, je le croisai à nouveau. Il s'approcha de moi sans aucune gêne alors que moi, j'étais terrorisée sans savoir pourquoi. Nous échangeâmes quelques banalités puis il resta planté là, comme s'il attendait que je lui dise quelque chose ou que je l'invite à aller prendre un verre de cidre... Tétanisée, je lui souhaitai le bonsoir sans façon et, l'air déçu, il s'éloigna.
Je ne le revis que quelque temps plus tard, accompagné de quelques amis, hommes et femmes. Tout en m'occupant de mes clients, je l'épiais du coin de l'oeil et remarquai qu'il en faisait de même. Toutefois, lorsque je m'approchai pour les servir, il ne me répondit que de façon courtoise et tout à fait détachée. J'en fus bouleversée plus que je ne l'aurais cru. Dans les mois qui suivirent, il vint à l'auberge à quelques reprises, quelques fois seul mais la plupart du temps avec une femme qui le regardait avec des yeux de merlan frit mais que lui ne semblait considérer que comme une simple connaissance. Je remarquai que son regard continuait de me suivre et je me pris à espérer. Je vous rappelle que mon Catchad, l'homme de ma vie, m'a laissé pour une tr... pour une autre femme il y a presqu'un an alors le regard d'un homme sur moi n'était pas pour me laisser de glace!
Cependant, les mois ont passé et le bel inconnu aux yeux d'une couleur indéfinissable continuait de garder ses distances. L'hiver venu, ne le voyant plus à l'auberge, j'appris qu'il avait quitté le village pour plusieurs semaines. Mais je continuais de le voir dans mes rêves. Puis, il y a quelques semaines, j'eus la grande joie de le voir passer la porte de mon établissement et venir vers moi! Nous parlâmes de tout et de rien, de lui, de moi... Mais toujours retenue par notre différence d'âge, je me disais qu'il était impossible qu'il ait pour moi autre chose que de l'amitié. Je n'osai donc pas lui avouer mon attirance.
Depuis, il vient très souvent à l'auberge et ne manque jamais de me saluer mais, même si le jeu de l'observation à la dérobée continue, jamais, ni dans ses gestes, ni dans ses paroles, il ne me laisse croire que l'attirance est mutuelle et qu'il ressente autre chose que de l'amitié pour moi. Je ne sais donc plus quoi penser ni comment réagir lorsqu'il s'assoit à mon comptoir.
Je cesserai donc de me faire des idées et laisserai la vie suivre son cours. Mais j'espère que celle-ci n'attendra pas trop longtemps pour mettre quelqu'un sur ma route. Et que je saurai le reconnaître lorsqu'il se présentera...
Depuis l'automne dernier, un mystérieux étranger vient régulièrement visiter mon auberge. La première fois qu'il est entré, je l'ai remarqué car, à la grandeur du village, on connaît tout le monde et lui, je ne l'avais jamais vu. Lorsque j'ai croisé son regard, j'ai senti comme une porte s'ouvrir et une drôle d'énergie me parcourir l'échine. Bien que j'aie d'abord pensé au coup de foudre, cet homme me semblait bien jeune et je me suis donc raisonnée. Puis, au hasard d'une randonnée en forêt, je le croisai à nouveau. Il s'approcha de moi sans aucune gêne alors que moi, j'étais terrorisée sans savoir pourquoi. Nous échangeâmes quelques banalités puis il resta planté là, comme s'il attendait que je lui dise quelque chose ou que je l'invite à aller prendre un verre de cidre... Tétanisée, je lui souhaitai le bonsoir sans façon et, l'air déçu, il s'éloigna.
Je ne le revis que quelque temps plus tard, accompagné de quelques amis, hommes et femmes. Tout en m'occupant de mes clients, je l'épiais du coin de l'oeil et remarquai qu'il en faisait de même. Toutefois, lorsque je m'approchai pour les servir, il ne me répondit que de façon courtoise et tout à fait détachée. J'en fus bouleversée plus que je ne l'aurais cru. Dans les mois qui suivirent, il vint à l'auberge à quelques reprises, quelques fois seul mais la plupart du temps avec une femme qui le regardait avec des yeux de merlan frit mais que lui ne semblait considérer que comme une simple connaissance. Je remarquai que son regard continuait de me suivre et je me pris à espérer. Je vous rappelle que mon Catchad, l'homme de ma vie, m'a laissé pour une tr... pour une autre femme il y a presqu'un an alors le regard d'un homme sur moi n'était pas pour me laisser de glace!
Cependant, les mois ont passé et le bel inconnu aux yeux d'une couleur indéfinissable continuait de garder ses distances. L'hiver venu, ne le voyant plus à l'auberge, j'appris qu'il avait quitté le village pour plusieurs semaines. Mais je continuais de le voir dans mes rêves. Puis, il y a quelques semaines, j'eus la grande joie de le voir passer la porte de mon établissement et venir vers moi! Nous parlâmes de tout et de rien, de lui, de moi... Mais toujours retenue par notre différence d'âge, je me disais qu'il était impossible qu'il ait pour moi autre chose que de l'amitié. Je n'osai donc pas lui avouer mon attirance.
Depuis, il vient très souvent à l'auberge et ne manque jamais de me saluer mais, même si le jeu de l'observation à la dérobée continue, jamais, ni dans ses gestes, ni dans ses paroles, il ne me laisse croire que l'attirance est mutuelle et qu'il ressente autre chose que de l'amitié pour moi. Je ne sais donc plus quoi penser ni comment réagir lorsqu'il s'assoit à mon comptoir.
Je cesserai donc de me faire des idées et laisserai la vie suivre son cours. Mais j'espère que celle-ci n'attendra pas trop longtemps pour mettre quelqu'un sur ma route. Et que je saurai le reconnaître lorsqu'il se présentera...
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